Des partis politiques ont rencontré vendredi 8 novembre la mission des Nations Unies qui les a conviés.
C’est pour recueillir les besoins électoraux de la Guinée en transition depuis le 5 septembre 2021.
Le responsable de la communication du PEDN a confié à mosaïqueguinee quelques lignes développées lors de leur visite à la maison des Nations Unies à Conakry. <<Ils ont pris par catégorie, ceux qui ont pris part au dialogue et ceux qui n’ont pas pris part au dialogue>> a t-il dit avant de continuer :
<<On a dit que l’urgence n’est pas le processus électoral, mais la constitution. On ne demande pas l’appui du processus électoral que lorsque ce processus est engagé. Pour l’instant, nous n’avons pas de constitution, on n’a pas de code électoral, le processus est déroulé sans la participation des acteurs clés de la compétition. Ce qu’il faut régler, c’est cette crise politique qui est là, il est impossible que cela parte sur de bonnes bases. Nous avons donné notre point de vue sur ce qui s’est passé. J’espère qu’ils vont continuer la consultation. Nous allons découvrir ce qu’ils en ont fait. Tout le monde est d’accord qu’il faut aller au dialogue mais avec assurance et le format. Les discussions sont à ce niveau parce que nous avons bien voulu que les Guinéens discutent entre-eux>>, a-t-il déclaré.