Le président du Bloc Libéral (BL), Dr Faya Millimono, a officiellement déposé sa candidature lui-aussi à la Cour suprême pour l’élection présidentielle de décembre 2025. À l’issue de cette démarche, l’homme politique a tenu à s’exprimer devant la presse.
« Il ne faut pas parler au nom du peuple. Ce n’est pas ce folklore qui doit vous effrayer. c’est une minorité, allez aujourd’hui dans les bureaux, vous ne trouverez aucun administrateur là-bas. C’est déjà une violation de la loi. Parce que quand on est un commis de l’État, on n’est pas censé se mêler du jeu partisan », a déclaré Dr Millimono, visiblement préoccupé par ce qu’il qualifie d’immixtion de l’administration dans le processus politique.
Par ces mots, le président du Bloc Libéral rappelle la nécessité de préserver la neutralité de l’État et de garantir l’égalité des chances entre les candidats, un principe qu’il estime essentiel pour un scrutin libre et crédible.


