Le monde entier a célébré ce mercredi 1er mai, la journée internationale dédiée aux travailleurs de tous les secteurs d’activité.
Cette journée constitue pour l’humanité, un moment de réclamation et de dénonciation des conditions de vie et de travail des employés. Pour la première fois en Guinée, la presse défile devant des décideurs.
Au stade de coleyah où l’événement a été organisé, les hommes de médias ont été vus, tous habillés en gilets de presse la bouche bandée en tissus rouges.
Pour le syndicat des professionnels de la presse en Guinée ( SPPG), le message est clair. C’est d’attirer l’attention des autorités de la transition sur les 500 emplois détruits sous le règne du CNRD et le brouillage des médias depuis des mois.
Sur des affiches, on pouvait lire : <<la liberté de la presse est non négociable.>> ou encore <<plus de 500 emplois détruits. Libez les médias.>>
Pour le syndicat de la presse, les médias traversent une période difficile depuis la restriction qui leur a été imposée par les autorités guinéennes.